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Campagne on fait la différence

Du 12 mai au 22 juin, suivez la campagne « On fait la différence ». Chaque semaine, restez à l’affût pour découvrir le travail incroyable des organismes de chez nous dans les pages du Progrès, sur les ondes de CIGN et sur ressourcescoaticook.com!

#onfaitladifférence… parce qu’on est passionnés

Déjà la dernière semaine de la campagne #onfaitladifférence pour mettre en valeur tous les efforts et le travail des organismes communautaires de la région de Coaticook ! On ne pouvait certainement pas terminer cette belle campagne sans vous parler de passion : la passion pour laquelle les travailleurs et travailleuses du communautaire se lèvent chaque matin afin de donner leur 110 % pour répondre aux besoins de la population. La passion pour laquelle ils et elles font tout leur possible pour offrir les services à toute personne qui manifeste le besoin, même si les groupes sont déjà pleins, même si l’horaire est déjà surchargé, même si les ressources financières du mois sont déjà épuisées…

On est passionnés, parce que personne n’est laissé de côté, les ailes du communautaire sont assez grandes pour accueillir tout un chacun, même si maman canard doit faire plus d’efforts pour amener tout le monde à destination. Vous aurez compris que maman canard est une métaphore pour représenter les travailleurs et les travailleuses du communautaire ! Pensez à d’autres secteurs, où on peut patienter des mois et des années sur des listes d’attentes avant de recevoir une consultation ou un service. Tout ça dit avec beaucoup d’humilité et de respect pour ces travailleuses et travailleurs des autres secteurs qui font du mieux qu’ils peuvent. Eh oui, on en revient toujours au fameux filet social en cruel manque d’investissement. Chose certaine, des situations de ce genre sont rarissimes dans le communautaire !

Rien ne sert d’expliquer en long et en large pourquoi les travailleurs et travailleuses du communautaire sont passionnés. C’est indéniable, c’est l’humain qui nous passionne d’abord et avant tout. On aime les gens, on veut faire la différence dans leur vie, on veut faire mieux pour qu’ils aillent mieux. On veut donner mieux pour permettre une prise en charge, un épanouissement ou même pour combler les besoins essentiels le cas échéant. On travaille passionnément, car notre paye, c’est de se faire dire qu’on a vraiment fait une différence dans la vie de quelqu’un. C’est un merci timide, les yeux pleins d’eau ou un merci dit trop de fois et trop fort. La passion est l’ingrédient principal de notre recette sans qui rien ne serait possible.

Janie Martel & Émilie Drouin

Mme Martel et Mme Drouin sont respectivement agente de communication et directrice générale à la Corporation de développement communautaire (CDC) de la MRC de Coaticook, un regroupement d’organisations communautaires qui œuvrent dans différents champs d’activités, dont la mission est d’assurer la participation active du mouvement populaire et communautaire au développement de la MRC de Coaticook. Du 12 mai au 22 juin, la CDC de la MRC de Coaticook avec le soutien financier de la SADC de la région de Coaticook, met en lumière le travail indispensable des organismes de la région. Suivez la campagne #onfaitladifférence sur RessourcesCoaticook.com.

Association des personnes handicapées de la MRC de Coaticook (APHC+)
Corporation de développement communautaire (CDC) de la MRC de Coaticook

On fait la différence parce que les gens peuvent compter sur nous

Bibliothèque Françoise-Maurice de Coaticook
Pavillon des arts et de la culture de Coaticook

#onfaitladifférence… parce qu’on est proche, même avec un masque et la distance physique

Après plus d’une année de distanciation physique et de port de masque, on sent bien que cette période a souvent mis à mal nos relations humaines, alors que s’il y a bien un temps où ces relations étaient importantes, c’est bien en ces moments difficiles. Les annonces de déconfinement font du bien à notre moral, mais il n’en reste pas moins que les effets de la pandémie se feront sentir bien après le retour à la vie ‘’normale’’. On ne pouvait donc pas passer à côté de cette thématique!

Depuis le début de la pandémie, on a souvent utilisé le terme ‘’distanciation physique’’. Mais pourquoi parler de distanciation physique, et non de distanciation sociale? Parce que ce n’est pas parce qu’on ne peut pas se toucher, se voir de près, se voisiner, qu’on ne peut pas avoir de contact social. Combien de personnes se sont senties démunies face à ce manque de contact humain, de moments partagés en toute simplicité avec les personnes qui nous font du bien? Et le masque, le fameux masque. Qui n’a pas soulevé son masque une seconde et quart pour dire bonjour à quelqu’un parce que cette personne ne nous reconnaissait pas? Je plaide coupable! Recevoir un sourire caché, ç’a n’a pas le même impact que de voir le sourire d’une personne illuminé l’ensemble de son visage. Ces barrières visuelles et physiques nous ont marqués, certaines plus que d’autres, mais les impacts sont bel et bien là!

Et quand on travaille avec l’humain, c’est difficile d’appliquer ces règles. Un câlin à un enfant en pleur, un coup de main pour traverser la rue à une personne âgée, une main sur une épaule pour dire à une personne que cette mauvaise passe va suivre son cours et passer, ce sont de petits gestes qui nous permettent souvent de créer un lien encore plus significatif avec les personnes qu’on aide. Et malgré le port du masque et la distanciation physique, les travailleuses, travailleurs et bénévoles des organismes communautaires ont su rester proches de leurs membres. C’est grâce à leur dévouement, leur liberté d’action, leur créativité, qu’ils et elles ont trouvé des moyens ingénieux de maintenir le contact, le lien de confiance avec la communauté. Et avec autant de contraintes, de changements, de règles nouvelles, c’est un accomplissement!

Chaque jour, je suis ébahie de constater le travail incroyable des travailleuses et travailleurs du milieu communautaire. Ébahie de cette façon qu’ils et elles ont de rejoindre les gens, de les aider alors qu’ils et elles avaient perdu confiance, perdu l’espoir. Alors que notre système par manque de ressource, de flexibilité, n’arrivait pas à les rejoindre, ou les avait tout simplement laissés aller. Ne vous méprenez pas, je ne jette la pierre à personne, mais la réalité est qu’il y a des personnes de NOTRE communauté qui n’arrivent pas à ‘’fitter’’ pas dans le système, et le milieu communautaire est souvent le dernier endroit vers lequel ces personnes peuvent se tourner.

L’adage Tout est dans tout n’aura jamais été aussi vrai en ce moment : l’investissement dans notre filet social est essentiel! Pour les personnes plus marginalisées, mais aussi pour Monsieur et Madame Tout-le-Monde qui vont avoir besoin de support pour surmonter les épreuves liées à la pandémie. Oui, Tout est dans tout et Vaut mieux prévenir que guérir. Alors, est-ce qu’on se décide à se mettre en action et faire les changements qui s’imposent ou allons-nous continuer à nous répéter ces sages paroles sans rien faire tout en espérant que les changements se feront d’eux-mêmes? Parce que je ne sais pas pour vous, mais moi, le retour à la ‘’normale’’, non seulement je n’y crois pas, mais je n’en veux pas. Mais c’est toutes et tous ensemble que nous arriverons à changer les choses et créer un monde plus juste pour toutes et tous.

Émilie Drouin

Mme Drouin est directrice générale à la Corporation de développement communautaire (CDC) de la MRC de Coaticook, un regroupement d’organisations communautaires qui œuvrent dans différents champs d’activités, dont la mission est d’assurer la participation active du mouvement populaire et communautaire au développement de la MRC de Coaticook. Du 12 mai au 22 juin, la CDC de la MRC de Coaticook avec le soutien financier de la SADC de la région de Coaticook, met en lumière le travail indispensable des organismes de la région. Suivez la campagne #onfaitladifférence sur RessourcesCoaticook.com.

Carrefour jeunesse-emploi de la MRC de Coaticook

Maison de la famille de la MRC de Coaticook

#onfaitladifférence… parce qu’on aide les gens

Aider les gens est l’essence même de l’ADN des organismes communautaires. Personne ne tombera des nues avec cette affirmation ! C’est ce désir de faire une différence dans la vie des gens qui motive nos actions, notre dévouement, notre passion. On dit souvent que le milieu communautaire constitue le filet social d’une communauté. On dit aussi que nous travaillons en vue d’une plus grande justice sociale. Mais qu’est-ce que ça mange en hiver un filet social et une justice sociale?

Filet social : Les services publics et les divers programmes sociaux sont des éléments qui constituent le filet social. Ce sont les services auxquels ont a droit comme un suivi psychologique à l’hôpital, l’assistance sociale, le chômage, etc. Et oui, les services prodigués par les organismes communautaires font partie de ces services, notre financement étant public. Mais lorsqu’on affirme que les organismes constituent le filet social, c’est qu’en réalité, l’accessibilité aux services publics et aux programmes n’est pas toujours facile. Il y a des listes d’attente, des contraintes parfois, et souvent, de la méfiance envers les services publics. Les organismes, de par leur autonomie dans la mise en œuvre de leur mission et leur liberté d’action, réussissent à rejoindre des personnes qui sont plus craintives à utiliser les services publics. Les organismes demeurent également auprès des personnes qu’ils aident jusqu’à ce qu’elles puissent recevoir les services dont elles ont besoin. Ils font donc le pont avec la nouvelle ressource et s’assurent que les personnes continuent d’être accompagnées jusqu’à leur prise en charge par les services publics.

Justice sociale : Une travailleuse de proximité de la région m’a déjà dit « On ne part pas avec les mêmes chances, les mêmes outils, les mêmes réseaux dans la vie et c’est important d’admettre que n’importe qui dans cette situation, sans ces outils, aurait de la difficulté à s’en sortir. » La justice sociale, c’est justement de s’assurer que les conditions de vie de toutes et tous soient les mêmes, peu importe le statut, la couleur, le sexe, l’orientation, le revenu. C’est aussi de soutenir les personnes plus vulnérables et d’améliorer les conditions de vie de toutes et tous, selon les concepts de l’égalité, et non de l’équité. Ce qui veut dire qu’on aide davantage ceux et celles qui en ont besoin. Et c’est justement en investissant dans le filet social qu’on atteint une plus grande justice sociale.

Ces deux grands concepts sont les fondements mêmes du milieu communautaire : aider la population pour que toutes et tous aient droit aux mêmes chances dans la vie. On le mentionnait la semaine dernière, personne n’est à l’abri d’un coup dur. Alors, que le coup de main soit passager ou récurrent, il est essentiel de permettre à tout le monde d’avoir accès aux meilleures conditions de vie possibles. Et parce que notre filet social a besoin d’amour, particulièrement en ces temps éprouvants, les travailleuses, travailleurs et bénévoles du milieu communautaire accomplissent ce miracle chaque jour : bâtir une société plus juste et équitable.

Émilie Drouin

Mme Drouin est directrice générale à la Corporation de développement communautaire (CDC) de la MRC de Coaticook, un regroupement d’organisations communautaires qui œuvrent dans différents champs d’activités, dont la mission est d’assurer la participation active du mouvement populaire et communautaire au développement de la MRC de Coaticook. Du 12 mai au 22 juin, la CDC de la MRC de Coaticook avec le soutien financier de la SADC de la région de Coaticook, met en lumière le travail indispensable des organismes de la région. Suivez la campagne #onfaitladifférence sur RessourcesCoaticook.com.

Centre d’action bénévole de la MRC de Coaticook

Garderie le Petit Moulin

#onfaitladifférence… parce qu’on répond aux besoins grandissants

Dire que les besoins de la population ont augmentés depuis mars 2020 serait presque une blague. Ô combien la demande a été grandissante pour les organismes communautaires de la MRC de Coaticook depuis mars 2020! On pense d’emblée à l’impact de la pandémie qui a affecté à la hausse les demandes de services auprès de nos organisations communautaires. C’est vrai, certes, mais la pandémie n’a fait qu’exacerber les problèmes déjà présents dans la société. Qu’on pense à la santé mentale, à l’isolement, à l’insécurité financière et alimentaire, à la violence conjugale ou à l’isolement social, ces problèmes ne datent pas d’hier et ont toujours nécessité que les organismes communautaires agissent pour le bien-être de la population. Depuis le début de la pandémie, ces problématiques sont simplement présentes à plus grande échelle, et nos organismes travaillent d’arrache-pied pour accompagner les personnes qui sont dans le besoin.

Pendant que les inégalités sociales continuent de se creuser, que la classe moyenne s’appauvrit, que la pandémie s’étire et qu’elle provoque toujours plus de dommages collatéraux, les organismes communautaires sont toujours présents pour répondre aux besoins grandissants de la population. On continue de s’adapter pour faire ce qu’on fait de mieux : accueillir les personnes de notre communauté à bras ouverts et faire tout en notre possible pour aider au mieux ceux et celles qui cognent à notre porte.

On dit souvent que le visage de la pauvreté change. Eh bien on a envie de vous dire que le visage de la vulnérabilité est en constante évolution, et en temps de pandémie, c’est encore plus vrai! Parce que ce qu’on vit présentement, dépasse l’imaginaire, nous place dans une situation que peu de gens ont vécue. Qui dit vulnérabilité ne veut pas nécessairement dire pauvreté, et dans le contexte actuel, personne n’est à l’abri. Nos repères, nos exutoires, nos petits plaisirs ne sont pas tous accessibles. On doit réinventer comment on vit, et c’est difficile de faire ça, alors que tout ce qu’on désire le plus, c’est revenir à la « normale ». Nous sommes toutes et tous fragiles en ces temps troubles, et nous nous devons de nous montrer bienveillantes et bienveillants envers nous-mêmes, mais également envers les autres.

C’est sur cette note d’appel à la bienveillance que nous souhaitons souligner le travail exceptionnel de nos travailleuses, travailleurs et bénévoles du milieu communautaire, véritables piliers bienveillants de notre communauté. Même si ces femmes et ces hommes vivent aussi une période difficile, elles et ils sont présents, chaque jour, quoi qu’il arrive, pour donner le meilleur d’eux-mêmes. Et à toi pour qui ce texte éveille un désir d’aider toi aussi; éveille des craintes; éveille ta conscience de changer les choses; tourne-toi vers nos organismes communautaires! Ils sont là pour toi, pour t’aider ou t’embarquer dans leur aventure!

Émilie Drouin & Janie Martel

Mme Drouin et Mme Martel sont respectivement directrice générale et agente de communication à la Corporation de développement communautaire (CDC) de la MRC de Coaticook, un regroupement d’organisations communautaires qui œuvrent dans différents champs d’activités, dont la mission est d’assurer la participation active du mouvement populaire et communautaire au développement de la MRC de Coaticook. Du 12 mai au 22 juin, la CDC de la MRC de Coaticook avec le soutien financier de la SADC de la région de Coaticook, met en lumière le travail indispensable des organismes de la région. Suivez la campagne #onfaitladifférence sur RessourcesCoaticook.com.

L’Éveil, ressource communautaire en santé mentale

La Maison des jeunes de Waterville

#onfaitladifférence parce qu’on s’est adapté

L’adaptation, c’est un drôle de concept vous ne trouvez pas? Pourtant, c’est assez simple : c’est de modifier quelque chose pour l’accorder à une situation ou une personne. Mais en même temps, notre perception du changement est subjective, elle est propre à chaque personne. Ce qui est un grand ajustement pour Anne peut être minime pour Édouard. On peut aussi se targuer d’avoir changé pour s’adapter à une situation, mais ça ne veut pas dire qu’on a procédé à des transformations incroyables, ça dépend encore une fois de notre perception.

Dans le milieu communautaire, l’adaptation pourrait presque être notre deuxième nom : les organismes communautaires adaptés de la MRC de Coaticook! Chaque jour, les travailleuses, travailleurs et bénévoles des organismes de la région accomplissent des petits miracles avec presque rien. Bob le bricoleur envie notre coffre à outils, je peux vous le garantir!

Mais tout ce travail, aussi magnifique et aidant soit-il, a ses failles. Eh oui, je vous parle du financement des organismes. Dans le milieu communautaire, il y a ce qu’on appelle le financement à la mission, donc de l’argent récurrent qui nous sert à accomplir notre mission, puis il y a le financement par projet qui lui nous sert à mettre sur pied un projet. Le problème, c’est que les sommes que nous recevons avec le financement à la mission ne sont pas suffisantes pour offrir des conditions de travail décentes pour nos employés, pour maintenir les services que nous avons mis en place, ou encore pour conserver nos heures d’ouverture.

Chaque jour, les organismes font preuve de créativité et usent de polyvalence pour accomplir leur mission et être présents pour la communauté. Mais à quel point ces qualités sont-elles reconnues? On nous demande de constamment nous réinventer, mais lorsqu’une formule gagnante a fait ses preuves, pourquoi faudrait-il en changer? Quand un service répond aux besoins de la population, pourquoi faudrait-il le modifier pour qu’il réponde aux critères d’un énième appel de projets qui durera une, deux années, grand maximum?

Et parce que les organismes, leurs employés et leurs bénévoles donneraient leur chemise pour aider la communauté, on fera des pieds et des mains pour maintenir ce service. On le fera aussi pour garder l’employé qui se sera investi dans le projet, parce qu’il ou elle aura créé des liens avec la population et les partenaires. Mais au bout du compte, l’organisme ne recevra aucun soutien pour ce service, et devra déposer un autre projet pour maintenir ses services, toujours en les modifiant un peu, pour que ça compte comme un nouveau projet.

Adaptation EST notre deuxième nom, pandémie ou pas. Aujourd’hui, on souligne cette capacité d’innover, peu importe la situation ou le contexte. Mais il est important également de sensibiliser à la raison pour laquelle nous demandons un meilleur financement. Pour que notre capacité d’innover soit reconnue et qu’elle ne soit plus rattachée à des subventions à la pièce. Imaginez ce que nous pourrions accomplir si nous avions les moyens de nos ambitions. Imaginez ce que pourrait être notre communauté. Moi, je le vois! Je vois une communauté entourée et accompagnée d’êtres exceptionnels aux compétences insoupçonnées et bien évidemment, une communauté résiliente. Et laissez-moi vous dire que c’est magnifique!

Émilie Drouin

Mme Drouin est directrice à la Corporation de développement communautaire (CDC) de la MRC de Coaticook, un regroupement d’organisations communautaires qui œuvrent dans différents champs d’activités, dont la mission est d’assurer la participation active du mouvement populaire et communautaire au développement de la MRC de Coaticook. Du 12 mai au 22 juin, la CDC de la MRC de Coaticook avec le soutien financier de la SADC de la région de Coaticook, met en lumière le travail indispensable des organismes de la région. Suivez la campagne #onfaitladifférence sur RessourcesCoaticook.com.

La Maison des jeunes de Coaticook

L’Aide à domicile de la MRC de Coaticook

Merci à nos précieux partenaires!